https://www.rams-journal.com/index.php/RAMS/issue/feedRevue Africaine de Médecine et de Santé Publique2024-10-02T12:10:40+00:00Secrétariat RAMSramslubumbashi@gmail.comOpen Journal Systemshttps://www.rams-journal.com/index.php/RAMS/article/view/413Facteurs pronostiques des péritonites aigues à l’hôpital général dans un hôpital de référence du Niger.2024-10-02T11:05:15+00:00BOKA TOUNGA Yahouzayahouzabokatounga@gmail.comIDE Kadiy@gmail.comSAIDOU Adamay@gmail.comYOUNSA Hamay@gmail.comJAMES DIDIER Lasseyy@gmail.comCHAIBOU Maman Saniy@gmail.comSANI Rachidy@gmail.com<p>La péritonite est une inflammation ou infection aigue du péritoine ; le plus souvent secondaire à une perforation d’organe digestif et /ou à la diffusion d’un foyer septique intra abdominal. Le but de notre travail est d’étudier les facteurs pronostiques des péritonites aigues à l’Hôpital Général de Référence de Niamey.</p> <p><strong>METHODES :</strong> Il s’agissait d’une étude rétrospective sur 5 ans 2 mois allant du 1 er Janvier 2018 au 31 Mars 2022 prenant en compte les patients de tout âge admis et opéré pour péritonite aigue à l’HGR de Niamey. L’évaluation des résultats s’était basée le sexe, l’âge, ; le délai de consultation, ; l’étiologie ; l’anémie, la quantité du liquide aspiré ; le nombre de perforation ; la morbidité ; la mortalité et la durée d’hospitalisation.</p> <p><strong>RESULTATS :</strong> La série comportait 75 cas dont 54 hommes (72%) et 21 femmes (28%). La péritonite par perforation iléale était le diagnostic per opératoire le plus représenté. La moyenne d’âge était de 29,06 ans. Les patients (26,67%) avaient consulté entre 7 jours et 15 jours après le début de la symptomatologie. L’anémie a été retrouvée chez 28 patients. La morbidité postopératoire a été de 21,33% dans notre série. La mortalité opératoire était de 1,33%. La durée moyenne d’hospitalisation de notre série était de 9 jours.</p> <p>Les péritonites aiguës généralisées, affectent surtout de l’adulte jeune en milieu tropical, une pathologie fréquente dans nos des urgences chirurgicale (35,88%) avec une mortalité non négligeable.</p>2024-10-02T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés Revue Africaine de Médecine et de Santé Publique 2024https://www.rams-journal.com/index.php/RAMS/article/view/386Condition de travail et risques sanitaires chez les travailleurs des sites d’orpaillage: cas de deux sites au Burkina Faso2024-10-02T09:12:49+00:00Ahmed KOAMAakoama25@yahoo.frSouleymane SIDIBEy@gmail.comNestor Bationoy@gmail.comMaxime DRABOy@gmail.com<p><strong>Résumé : </strong>L’orpaillage occupe une place de choix dans l’économie du Burkina Faso au même titre que l’agriculture et l’élevage. Cependant, les conditions de travail sur les sites d’orpaillage exposent les travailleurs à des risques sanitaires dont les conséquences entrainent une altération de leur état santé.</p> <p>Le but de cet article était de déterminer les risques liés aux conditions de vie sur deux sites d’orpaillage au Burkina Faso.</p> <p><strong>Méthode : </strong>Nous avons mené une étude transversale descriptive couvrant la période de janvier à mars 2023.</p> <p>Deux sites d’orpaillage de la région Sud-Ouest au Burkina Faso ont été retenus dans le cadre de cette étude. Il s’agit des travailleurs des sites d’orpaillage de Djikando et de Ourbi avec un échantillon de 263 enquêtés.</p> <p>Les données ont été collectées avec le logiciel KOBOcollect et analysées avec le logiciel STATA version 16.</p> <p><strong>Résultats : </strong>L’étude a connu la participation de 263 travailleurs et a révélé des risques sanitaires liés à la pratique de l’orpaillage. Nous pouvons énumérer l’utilisation des équipements de protection individuelle (12,5%), l’utilisation des produits chimiques (57,4%) et des explosifs (24,7%).</p> <p><strong>Conclusion : </strong>Cette étude a montré que les conditions de travail sur les sites d’orpaillage favorisent des risques sanitaires chez les travailleurs. Des actions de santé publique doivent être menées sur les sites d’orpaillage pour minimiser les risques sanitaires encourus. </p>2024-10-02T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés 2024https://www.rams-journal.com/index.php/RAMS/article/view/415Exemple de mesure de la qualité des soins pédiatriques et néonatals dans une perspective d’amélioration (Kissidougou)2024-10-02T11:26:58+00:00Diallo Abdoulaye Oumarsorydiallo1962@gmail.comBarry Boubacar Babay@gmail.comTouré Thierno Mamadou Aliouy@gmail.comDiaby Makay@gmail.comDiallo Boubacary@gmail.comConté N’Fanlyy@gmail.comDiallo Soryy@gmail.comSidibé Mamadiy@gmail.comDiallo Yayay@gmail.com<p><strong>Contexte </strong></p> <p>Afin de réduire davantage le nombre de décès d’enfants, il convient d’examiner la qualité des soins de santé dispensés aux enfants et les facteurs qui contribuent aux décès. L’objectif de cette étude est de mesurer la qualité des soins afin d’améliorer la prise pédiatrique et néonatal dans le centre de santé de 1a commune de convergence de Bardou.</p> <p><strong>Méthodes.</strong> Il s’agit d’une étude transversale à visée descriptive qui s’est déroulée du 30/11/22 au 18/12/2022 dans le centre de santé Bardou. Ont été inclus dans cette étude les agents de santé ayant des connaissances en santé infantile et néonatale et présents au service durant la période de l’évaluation. Les données ont été analysées à l’aide du logiciel Epi info. Version. 6.</p> <p><strong>Résultats. </strong>L’étude a montré un niveau faible de qualité technique des soins offert aux enfants. Concernant les soins pédiatriques, les scores les plus élevés ont été attribués à la prise en charge des infections respiratoires aiguës et aux maladies diarrhéiques). Pour les soins néonatals, le score le plus élevé a été attribué à la lutte contre l’infection. Pour l’ensemble des critères de performances nous avons obtenu un score global de 60%, ce qui signifie un certain besoin d’amélioration pour atteindre les standards de soins de l’OMS.</p> <p><strong>Conclusion. </strong>Nos observations renforcent l’importance de la révision des curricula des formations de base et continue des prestataires en PCIME (prise en charge intégrée des maladies de l’enfant). Les recommandations ciblent : le renforcement des capacités des prestataires, l’approvisionnement en médicaments et matériels.</p>2024-10-02T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés Revue Africaine de Médecine et de Santé Publique 2024https://www.rams-journal.com/index.php/RAMS/article/view/416Appréciation de la qualité des soins dans le service de pédiatrie de l’hôpital spécialisé mère-enfant blanche Gomes (hsmebg) de Brazzaville (Congo)2024-10-02T12:04:40+00:00BINGUI OUTMAN Pascal Diogèney@gmail.comNEBARDOUM Derguedbéy@gmail.comPANDZOU Nelly Sandriney@gmail.comMADZOU NGANIE Vanessa Rolyney@gmail.comBOMELEFA BOMEL Verlemy@gmail.com, MABIALA-BABELA Jean Roberty@gmail.com<p><strong>Objectif</strong> : La qualité des soins dans le service de pédiatrie de l’HSMEBG est-elle appréciable ? L’objectif de ce travail est d’étudier la qualité des soins dans le service de pédiatrie de l’Hôpital Spécialisé Mère-Enfant Blanche Gomes de Brazzaville (Congo) afin de permettre son amélioration.</p> <p><strong>M</strong><strong>éthode</strong><strong>s</strong></p> <p>Il s’agit d’une étude descriptive, qualitative à visée évaluative et à recueil de données prospectif qui s’est déroulée dans le service de pédiatrie à l’Hôpital Spécialisé Mère-Enfant Blanche Gomes (HSMEBG) de Brazzaville (Congo). La collecte des données s’est faite du 15 Septembre au 15 Décembre 2023. La population cible était constituée des enfants d’un mois à 17ans, hospitalisés dans le service de pédiatrie de l’HSMEBG durant la période d’étude, ainsi que du personnel soignant dudit service. Les variables d’intérêt étaient constituées des caractéristiques socio-démographiques, les ressources humaines et matérielles, le niveau de connaissances des agents vis-à-vis de la QS, l’organisation et la pratique des soins et enfin la satisfaction des usagers. L’analyse a été faite de façon manuelle.</p> <p><strong>Résultats </strong>: le service de pédiatrie de l’HSMEBG compte 71 agents dont 4 pédiatres, 6 médecins généralistes et 23 infirmiers diplômés d’Etat. Un seul agent a déclaré avoir été formé sur la qualité des soins au cours de son cursus et 5 ont déclaré avoir déjà entendu parlé du concept de qualité des soins. Quant aux huit composantes, un seul agent (médecin) les a entièrement citées. Vingt-huit usagers sur 30 ont déclaré être globalement très satisfaits de la qualité des soins reçus par leur enfant dans le service au point d’accepter d’y revenir ou de le recommander à quelqu’un d’autre. Les deux autres ont dit éviter de revenir à cause du coût global très élevé.</p> <p><strong>Conclusion</strong> : La qualité des soins dans le service de pédiatrie de l’HSMBEG est globalement satisfaisante. Des domaines tels que la communication avec le patient et la disponibilité des</p> <p>produits pharmaceutiques doivent être améliorés. Les résultats de cette étude pourraient constituer le socle sur lequel les autorités politico-administratives, académiques et médicales peuvent s’appuyer pour décliner des stratégies, en vue de l’amélioration constante de la qualité des soins pour les enfants.</p> <p> </p>2024-10-02T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés Revue Africaine de Médecine et de Santé Publique 2024https://www.rams-journal.com/index.php/RAMS/article/view/396Factors to using non-medical contraceptive methods in sub-saharan africa: an umbrella review2024-10-02T09:42:59+00:00Nestor BATIONOnestorbationo72@gmail.comMaxime DRABOy@gmail.comAhmed KABOREy@gmail.comHermine TOGNONy@gmail.comDieudonné SOUBEIGAy@gmail.comPatrice NGANGUEy@gmail.com<p><strong>Introduction:</strong> Non-medical contraceptive methods, including natural methods, traditional methods, and barrier methods, have long been used worldwide to regulate fertility. With the advent of modern methods, these methods have fallen into disuse due to their low effectiveness. However, the use of these methods is resurfacing. No systematic review of the factors influencing the use of these methods has been found in the scientific literature. This study aims to identify the factors influencing the use of these methods in the sub-Saharan context.</p> <p><strong>Methods: This</strong> was an umbrella review. We conducted a literature search in the PubMed, Embase, CINHAL and Web of Science databases. Two independent authors made the selection. Three authors assessed the quality of included studies using the AMSTAR tool. We then carried out a narrative synthesis by grouping the factors according to the socio-ecological model.</p> <p><strong>Results</strong>: Seven (7) articles met the eligibility criteria. The main individual factors were age, medical history, standard of living and perceived benefits. Interpersonal factors included religious beliefs and spousal influence. Structural factors included the availability and accessibility of these methods.</p> <p><strong>Conclusion:</strong> The use of non-medical contraceptive methods poses a challenge for family planning programs. Communication strategies that include spouses and training for healthcare staff on these methods are needed. In addition, family planning providers should include advice on non-medical methods, not just medical methods, in order to better support women who choose these methods. This could help women to take greater control of their bodies in managing their fertility.</p> <p> </p>2024-10-02T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés 2024https://www.rams-journal.com/index.php/RAMS/article/view/398Acute malnutrition in rural twins before their second birthday: insights from a cohort study in Burkina Faso.2024-10-02T09:49:34+00:00Franck GARANETgaranet.franck@gmail.comAgnès GATARAYIHAy@gmail.comJoeffroy Diendiéréy@gmail.comHermann Lanouy@gmail.comAugustin N. Zebay@gmail.com<p><strong>Background:</strong> Twins constitute a vulnerable subpopulation among children under 5 years of age. In sub-Saharan Africa, it has been found that multiple births tend to be undernourished and the risks of acute malnutrition and stunting are high.</p> <p><strong>Objective: </strong>Examining the relationship between acute malnutrition and twins in rural areas</p> <p><strong>Methods: This</strong> is a cohort study. 199 villages in the province of Sanmentenga, Burkina Faso. Multiple logistic regression was used to examine the relationship between acute malnutrition and twin status at birth after adjusting for wealth index, presence of latrines, main water source, fever, and presence of diarrhoea. The statistical threshold for significance was P < 0.05 and all analysis were performed using STATA version 14.0.</p> <p> <strong>Results:</strong> A total of 708 children were included in the study, including 236 children born twins and 472 children born twins.non-twins. Children born to mothers younger than 18 years were more common among non-twins than among twins (5.6% vs. 1.0%, p = 0.001). Acute malnutrition was more common among twins than non-twins (42.1% versus 28.0%, p<0.001). Children with fever were more common among non-twins than among twins (10.2% versus 5.5%, p=0.04).After adjusting for the wealth index, the presence of latrines, the main source of water, the presence of fever and the presence of diarrhea, twins were 1.46 times more malnourished than single children (RR = 1.46 , 95% CI [1.17-1.81], p =0.001).</p> <p><strong>Conclusion</strong>: Children receiving rural health and nutrition education, twins were likely to be malnourished before their second birthday compared to non-twins.’ Particular attention should be paid to twins to reduce the risk of acute malnutrition before their second birthday.</p>2024-10-02T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés 2024https://www.rams-journal.com/index.php/RAMS/article/view/400Contribution des agents de santé à base communautaire à la prise en charge du paludisme simple au Burkina Faso de 2019 à 20212024-10-02T09:56:19+00:00L. Banze Wa Nsenselebanzensele@gmail.comE. Ameswué Kpogbé Johnsony@gmail.comH. Kaborey@gmail.com<p><strong>Objectif de l’étude : </strong>Évaluer la contribution des Agents de Santé à Base Communautaire (ASBC) à la prise en charge du paludisme au Burkina Faso de 2019 à 2021, en identifiant les défis et réussites dans les zones rurales.</p> <p><strong>Patients et méthodes</strong> : Cette étude rétrospective, descriptive et analytique, menée de 2019 à 2021 dans 13 régions sanitaires, évalue la contribution des ASBC à la gestion du paludisme simple. Les données quantitatives extraites de DHIS2, des annuaires statistiques de santé et de la plateforme de gestion des ASBC ont été analysées à l'aide de SPSS et Excel pour des analyses descriptives et multivariées. Seuls les ASBC ayant rapporté des données complètes ont été inclus dans l'étude.</p> <p><strong>Résultats</strong> : Les ASBC ont réalisé 15 % des tests de diagnostic rapide (TDR) de paludisme sur la période, avec une augmentation de 0,7 % en 2019 à 2,1 % en 2021. Cependant, 14 % des cas positifs n'ont pas été traités, principalement à cause de ruptures de stock. Des disparités régionales notables ont été observées, notamment dans les zones confrontées à des défis sécuritaires.</p> <p><strong>Conclusion</strong> : Bien que les ASBC contribuent efficacement à la prise en charge du paludisme, des améliorations sont nécessaires, notamment en matière de rémunération et d'approvisionnement en intrants de prise en charge du paludisme simple. Renforcer la collaboration entre les acteurs de la santé et améliorer l'accès aux ressources est crucial pour maximiser l'impact des ASBC et guider les futures politiques de santé communautaire au Burkina Faso.</p> <p> </p>2024-10-02T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés 2024https://www.rams-journal.com/index.php/RAMS/article/view/402Morbidité et mortalité des cancers urologiques et génitaux masculins dans le service d’urologie du chu de Treichville2024-10-02T10:01:51+00:00Yao Evrard Kouaméevrardkouameyao@gmail.comAdebayo Tawakaltu Bolasadey@gmail.comTuo Sékou Legnima Michely@gmail.comYéo Donafologo Daouday@gmail.comOdo Bitti Adéy@gmail.comCoulibaly Noëly@gmail.com<p><strong><em>Introduction</em></strong>. Notre travail avait pour but d’établir le bilan de la mortalité et de la morbidité des cancers uro-génitaux dans le service d’urologie du CHU de Treichville afin d’améliorer la prise en charge précoce de ces cancers.</p> <p><strong><em>Méthodes</em></strong>. Il s’agissait d’une étude descriptive étendue sur 4 ans et 7 mois et portant sur 82 dossiers de cancers uro-génitaux de patients hospitalisés dans le service d’urologie du CHU de Treichville.</p> <p><strong><em>Résultats</em></strong><em>. </em>Sur 606 cas d’hospitalisations, les cancers uro-génitaux représentaient 13,53 % des dossiers. L’âge moyen de nos patients était de 62 ans et 86,6 % de la population étudiée avait plus de 50 ans. Le sexe masculin dominait avec un sex-ratio de 6H / 1F. Le cancer de la prostate était de loin le plus fréquent avec 58,54 % suivi de celui de la vessie 26,83 %, du rein 13,41 % et enfin du testicule 1,22 %. Le sexe masculin était le plus touché par le décès (76,67 %). Le cancer le plus mortel était celui de la prostate 56,67 % suivi à égale proportion de celui de la vessie et du rein 20 %. Les co-morbidités les plus représentées étaient l’alcoolisme 25,60 %, le tabagisme 24,39 % et l’hypertension artérielle 21,95 %.</p> <p><strong><em>Conclusion</em></strong>. Les cancers uro-génitaux occupent une place importante dans les activités du service d’urologie du CHU de Treichville. Ils posent toujours un problème de diagnostic et de prise en charge, avec un taux de mortalité élevé.</p> <p> </p>2024-10-02T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés 2024https://www.rams-journal.com/index.php/RAMS/article/view/404Kyste de l’utricule prostatique cause rare d’uropathie obstructive basse : A propos d’un cas2024-10-02T10:10:15+00:00Mbey Mukaz Pitchoupitchoumbey@gmail.comMafuta Tsita Alphay@gmail.comEsika Mokumu Jean Pauly@gmail.comLoposso Nkumu Mathieuy@gmail.comDiangienda Kuntima Diasama Pabloy@gmail.comMwangala Mwinana Dieudonnéy@gmail.comMoningo Molamba Dieudonnéy@gmail.com<p>Les auteurs rapportent un cas de kyste de l’utricule prostatique suivi au service d’urologie-andrologie des cliniques universitaires de Kinshasa, il s’agit d’une dystrophie kystique qui se développe au dépens d’un reliquat embryonnaire du tubercule de Muller situé à la paroi postérieure de l’urètre prostatique, affection rare , constituant une des entités des kystes intraprostatiques, certaines formes sont incriminées dans l’infertilité masculine, le diagnostic est actuellement guidé par l’imagerie et sa prise en charge bien que, non codifié repose sur la résection par voie endoscopique.</p> <p>L’intérêt de cet article réside dans la rareté de l’affection et passe en revue les caractéristiques cliniques, diagnostic et thérapeutique en milieu Africain.</p> <p> </p>2024-10-02T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés 2024https://www.rams-journal.com/index.php/RAMS/article/view/384Editorial 2024-10-02T09:11:32+00:00Willy Arung Kalauwillyarung@hotmail.com<p><strong>Chers collègues et lecteurs,</strong></p> <p>C’est avec un immense plaisir que nous vous présentons ce nouveau numéro de notre Revue Africaine de Médecine et Santé publique. En cette période de défis sanitaires sans précédent, notre engagement envers l’amélioration de la santé publique en Afrique n’a jamais été aussi crucial.</p> <p><strong>L’importance de la recherche et de l’innovation</strong></p> <p>La recherche médicale et l’innovation sont au cœur de notre mission. Dans ce numéro, nous mettons en lumière des études pionnières et des initiatives innovantes qui visent à répondre aux besoins de santé spécifiques de notre continent. De la lutte contre les maladies infectieuses comme le paludisme et la tuberculose, à la gestion des maladies chroniques telles que le diabète et l’hypertension, nos articles offrent des perspectives nouvelles et des solutions pratiques.</p> <p><strong>Renforcer les capacités locales</strong></p> <p>Un autre axe essentiel de notre revue est le renforcement des capacités locales. Nous croyons fermement que la formation continue des professionnels de santé est la clé pour garantir des soins de qualité. À travers des articles de fond et des études de cas, nous partageons des expériences et des meilleures pratiques qui peuvent être adaptées et mises en œuvre dans différents contextes africains.</p> <p><strong>Collaboration</strong></p> <p>La collaboration est un pilier fondamental de notre approche. Nous saluons les professeurs et médecins qui acceptent de réviser les articles qui parviennent à la RAMS. Les délais sont encore parfois trop longs malheureusement. Mais ensemble, nous pouvons surmonter les obstacles et créer un système plus efficace et efficient.</p> <p><strong>Un avenir prometteur</strong></p> <p>En conclusion, nous sommes optimistes quant à l’avenir de la médecine et de la santé publique en Afrique. Les défis sont nombreux, mais avec détermination, innovation et collaboration, nous pouvons les surmonter. Nous espérons que ce numéro inspirera et motivera tous ceux qui travaillent sans relâche pour améliorer la santé de nos populations.</p> <p>Nous vous remercions de votre engagement et de votre soutien continu.</p> <p> </p> <p><strong> </strong></p> <p> </p> <p><strong>Pr Dr Willy Arung</strong></p> <p>Doyen de la Faculté de Médecine / UNILU</p> <p> </p>2024-10-02T00:00:00+00:00(c) Tous droits réservés 2024